Tous les professionnels qui travaillent dans la restauration ou la production agroalimentaire doivent veiller à ne causer aucune contamination alimentaire. Ce n'est pas forcément une chose évidente car il suffit parfois d'une seule erreur dans la chaîne de production pour créer une réaction en cascade aux répercussions parfois importantes. C'est pour cette raison que développer un partenariat avec un laboratoire agroalimentaire peut avoir du bon. En effet, les analyses agroalimentaires que vous fournira ce laboratoire pourra vous rassurer et même vous faire obtenir une certification.
Est-ce vraiment utile de passer par un laboratoire agroalimentaire ?
Lorsqu’on travaille dans des métiers si complexes que les métiers de bouche, il ne faut pas lésiner sur la qualité et la transparence de son processus de production. Une excellente traçabilité est indispensable si on veut pouvoir repérer tout problème qui surviendrait après des analyses agroalimentaires peu concluantes. Ainsi vous pourrez anticiper tout problème éventuel qui pourrait survenir sans que vous vous en rendiez compte. En effet, il vaut mieux prévenir que guérir.
Qu’est-ce que la norme ISO ?
C’est l’Organisation Internationale de Normalisation (ISO) qui établit les normes ISO. Il en existe plus de 22 000, couvrant des domaines aussi variés que la musique, l’informatique ou l’alimentation. La norme ISO en alimentation est à la fois une sécurité pour le producteur ainsi qu’un gage de qualité pour le consommateur. Obtenir une telle certification vous permet donc de l’afficher sur l’étiquette et rassurera vos clients. D’autant que la norme ISO s’intègre pleinement aux processus de développement durable et de respect de l’environnement.
Pourquoi les normes internationales en termes d’alimentation sont-elles si contraignantes ?
Les normes internationales en matière d’agriculture et d’alimentation sont nécessaires. Elles sont garantes de la santé publique et empêche que des contaminations alimentaires se développent et prolifèrent d’un pays à l’autre. La note d’analyse n° 190 disponible sur le site du Ministère de l’Agriculture développe de nombreux arguments en ce sens.